Quand l’Occident devient le nid du coucou
Dans le règne animal, le parasitisme de couvée est représenté emblématiquement par le coucou. Cet oiseau, au chant éponyme, a pour particularité de contraindre d’autres espèces aviaires à élever sa propre progéniture. Ce phénomène, cruel à bien des égards, ne découle pas d’une intelligence supérieure, mais d’une adaptation opportuniste qui exploite les failles d’un système pour assurer la survie de l’intrus aux dépens de l’hôte.
Et ceci trouve un écho dans une réalité contemporaine : l’immigration massive en Occident, exercée par des populations d’Afrique et du Moyen-Orient.
Une stratégie insidieuse
La femelle coucou choisit un hôte vulnérable et attend qu’il quitte le nid pour y déposer furtivement son œuf. De la même manière, certains étrangers se dirigent vers des pays réputés pour la perméabilité de leurs frontières et leur facilité d’accueil, puisque ces territoires garantissent une multitude de droits sans la moindre contrepartie.
L’œuf du coucou est un modèle de tromperie. Il ressemble à ceux de l’hôte et éclot en premier. Cette stratégie rappelle l’immigration extra-européenne qui, une fois installée, ne tarde pas à imposer ses marqueurs culturels dans un paysage épuré.
Une suite impitoyable
Dès son éclosion, le jeune coucou évince les œufs ou oisillons légitimes qui auraient dû bénéficier des soins de leurs parents. Ils sont condamnés à disparaître pour permettre à l’intrus de monopoliser les ressources. Avec similitude, des occidentaux sont agressés ou tués. Leur culture est peu à peu supplantée, dénoncée fallacieusement comme oppressive, raciste ou obsolète. Enfin, tout est transformé (urbanisation, éducation, prestations) pour s’adapter au mieux à l’appauvrissement sociétal, bien qu’il serait préférable de le nommer l’enrichissement culturel.
Le jeune coucou ne se limite pas à éliminer les œufs de l’hôte ; il affine encore son mimétisme en imitant les cris des oisillons légitimes, convainquant ainsi les parents de redoubler d’efforts pour le nourrir. Réciproquement, certains immigrés feignent l’assimilation en adoptant les aspects superficiels de la culture occidentale pour mieux la subvertir de l’intérieur. Avec le soutien de félons, ils parviennent à exceller dans l’art de la victimisation, en invoquant les droits de l’homme et la liberté de culte, tout en revendiquant publiquement des pratiques culturelles opposées aux valeurs locales.
Le summum du parasitisme
Même lorsque le jeune coucou devient plus exigeant, plus grand que ses parents adoptifs, ceux-ci continuent de l’entretenir avec dévouement, incapables de réaliser qu’il ne fait pas partie des leurs. Pareillement, la civilisation occidentale fait preuve d'un tel aveuglement qu’elle persiste à offrir bien davantage que l’hospitalité à un nombre croissant d’individus souvent dépourvus de gratitude, alors même que leur présence mène inévitablement à une compromission de sa sécurité, de ses acquis et de son avenir.
Les réflexes de survie
Dans le monde des oiseaux, certains hôtes finissent par développer des stratégies pour contrer le parasitisme du coucou. Ils apprennent à reconnaître les œufs étrangers et à les rejeter, ou abandonnent leur nid pour en construire un nouveau. De même, en Occident, des mouvements de résistance émergent. Des voix s’élèvent pour défendre l’identité, la culture, la souveraineté des nations ou une Europe unie. D’autres se contraignent à l’expatriation. Quelle que soit l’échappatoire choisie, elle est dénigrée par l’opposition. Et lorsque leurs cris sont enfin entendus, il est souvent trop tard pour agir sans dommages.
Si l’allégorie du coucou permet de dénoncer la colonisation à travers les âges, l’analogie avec le parasitisme culturel aide à comprendre les dynamiques de l’immigration de masse.
Sans mécanismes de défense adéquats, l’Occident sera, lui aussi, soumis à un envahisseur insatiable. Et de toute évidence, celui-ci ne se décidera jamais à quitter le nid.
@LaureTisser