La Pyramide du Déclin Occidental
L’effondrement pyramidal de l'Europe occidentale suit une mécanique implacable, avec cinq strates interdépendantes, chacune visant à le détruire.
Au sommet, les élites (cerveau)
Dans l’ombre, elles tirent les ficelles et jouissent du chaos qu’elles sèment. Intouchables, elles manipulent les masses avec un cynisme glacial, dans le but de dissoudre les fondements de leurs nations.
Au quatrième niveau, les castes progressistes (porte-voix)
Élevées dans la soie et l’entre-soi, elles paraissent intellectuellement supérieures, mais ne sont que des bovins qui régurgitent la doxa. Engourdies par leur confort, elles s’indignent en singeant le prolétariat. Trop lâches pour assumer leurs privilèges, elles reprochent à l’Occidental ce qu’elles n’ont osé faire à leur père. Elles investissent la politique, les médias, l’éducation, la culture, autant de tribunes pour marteler leurs idéologies mortifères.
Au troisième niveau, les gauchistes (bras droit)
Porteurs de traumas, rebelles immatures ou simples endoctrinés, ils sont conditionnés à renier leur propre civilisation. Leurs hordes traquent, hurlent et mordent au moindre sifflement, persuadées de combattre un ennemi qui n’existe pourtant que dans leur imagination.
Au deuxième niveau, l’immigration de masse (main armée)
Déracinée mais profondément identitaire, elle n’est nullement un remède aux maux de l’Occident, mais un poison qui se répand dans ses veines. Utilisée comme levier dans cette stratégie de déconstruction, elle attire en ses rangs le pire de l’humanité. N’ayant évidemment rien à perdre, elle profite simplement de la patte blanche et de la joue qu’on lui tend.
À la base, le peuple (colonne vertébrale)
Dépouillé de sa culture et de son identité, il a vu sa volonté anéantie par les décisions des fossoyeurs qui se prétendaient gardiens de son histoire et de ses libertés. Fatigué de vivre, ni les siens, ni Dieu, ni le souvenir de ses ancêtres ne suffisent à le relever. Les sacrifices d’autrefois, loin d’être un héritage à célébrer, se sont transformés en un fardeau trop lourd à porter. Et pour cause : ce ne sont pas seulement les héros qui ont traversé les âges, mais ceux qui, par prudence ou lâcheté, ont su se rendre, fuir ou se terrer. Ces survivants ont transmis en abondance leurs gènes, engendrant en bout de chaîne générationnelle des êtres plus morts que vivants, qui, ne songeant plus à perpétuer leur lignée, sont naturellement voués à disparaître. À l’inverse, si la plupart des véritables guerriers ont péri dans le fracas des batailles, leur descendance, directe ou non, s’attelle plus que jamais à leur faire honneur, envers et contre tous les traîtres.
Tant que les acteurs du déclin ne s’écarteront pas du destin que les démons de l’enfer leur assignent, la chute du Monde Blanc se poursuivra, menaçant de laisser une planète rouge et dévastée, dont même les petits hommes verts ne voudraient pas.
@LaureTisser