L’Occident redeviendra viril ou ne sera plus
La virilité se définit par une saine autorité, l'adhésion à des valeurs et la protection des siens. En perdant sa capacité à imposer sa puissance, à préserver sa culture et à sécuriser ses territoires, l’Occident incarne la dévirilisation.
Dans un contexte où les hostilités internes et les crises internationales ne cessent de s’intensifier, cette passivité, véritable suicide civilisationnel, contraste avec la fermeté et la vigilance qui sont les pierres angulaires de toute nation pérenne.
Les prémices du déclin
Le christianisme, l’influence gréco-romaine et les idéaux des Lumières sont les fondements sur lesquels l’Occident a prospéré, jusqu’à atteindre son apogée au XXe siècle.
Depuis, ses enfants ont amorcé une descente compromettant leur avenir. Sans un sursaut, leur empire ne tardera pas à s’effondrer sous le poids de mœurs étrangères.
En effet, une éthique sans envergure a supplanté la foi chrétienne et ses codes culturels, laissant un vide qui appelle inévitablement à être comblé. Il est donc à craindre que son réel successeur exploite ses ruines pour bâtir les tombes de ceux qui auront laissé faire.
Le paradoxe occidental
« Nul ne peut servir deux maîtres. Car, ou il haïra l’un et aimera l’autre, ou il s’attachera à l’un et méprisera l’autre. »
(L’Évangile selon Saint Matthieu, 6:24)
L’essor de la modernité et son confort sans précédent ont érodé les cadres traditionnels (religion, nation, filiation). Privées de repères solides, les nouvelles générations sont happées par l’attraction du tribalisme des extra-Européens.
En outre, les progressistes renforcent l’aliénation de l’individu moyen. Ils prétendent notamment que la bienveillance et l’autoflagellation suffisent à soigner tous les maux, y compris la frustration et la barbarie des assaillants.
Ce genre de conditionnement s’avère redoutable pour l’athée en errance spirituelle, car sa soif de croyances le pousse vers une idéologie de substitution. Et, en cela, le gauchisme pallie parfaitement ce besoin existentiel.
Ainsi, après des décennies de socialisme et de multiculturalisme, on observe les archétypes suivants :
- D’un côté, des Occidentaux soutenant le vivre-ensemble, déconstruisant l’homme Blanc et prônant l’émancipation des femmes ;
- De l’autre, des étrangers adoptant des pratiques patriarcales et archaïques, fondamentalement opposées au mode de vie occidental. De plus, une part significative d’immigrés jalouse ce que les autochtones possèdent, les dénigre pour ce qu’ils ont été et les méprise pour ce qu’ils sont devenus, tout en conspuant les allochtones qui osent s’assimiler.
Ce constat n'est pas qu'un simple paradoxe. En réalité, il masque une convergence infâme qui mène au rejet de l’identité blanche.
Bien qu'opposées, les deux entités en présence (féminin/masculin) partagent un objectif commun consistant à ébranler les vestiges de leur terre natale ou d’accueil :
- La première, influencée par l’idéobourgeoisie, s’exprime par une rébellion subtile et dissimulée, visant à redéfinir les concepts moraux et les normes sociales ;
- La seconde, émane du sous-prolétariat, et se manifeste par une rébellion frontale et assumée, engendrant incivilités et violences envers l’ordre établi.
Dans un même temps, des individus issus de l’immigration légale ou illégale enchaînent les récidives, pendant que médias mainstream et gouvernements s’efforcent d’invisibiliser ou de banaliser leurs actes.
Si les populations locales sont les premières victimes de ce fléau, la vague de cambriolages et d’agressions ciblant des personnalités publiques attise un ressentiment plus général.
Choisir de légitimer l’intrusion étrangère ou de s’allier à l’envahisseur plutôt que de le combattre, est un phénomène comparable, dans le règne animal, au "parasitisme de couvée", où l'hôte, dupé, devient à terme l’esclave de l'autre.
Cependant, si le raisonnement est le propre de l’intelligence humaine, pourquoi certains persistent à défendre l'indéfendable ? Leurs ancêtres n'auraient-ils pas vécu les mêmes viols et massacres que les nôtres, avant d'enfin parvenir à chasser l’occupant ?
Quant à toutes ces luttes menées pour la liberté, l’égalité et la fraternité, ces abominables crimes perpétrés au nom de la République et de la laïcité, l'ont-ils été en vain ?
Il est, et serait honteux, que ces souffrances et ces combats, même sous une autre bannière, se reproduisent simplement parce que les leçons du passé ont été ignorées par une minorité écrasante.
La dévirilisation de l’Occident
Les États ayant opté pour la suppression du service militaire obligatoire, semblent avoir parallèlement adopté des politiques lourdes de conséquences. Les mémoires se sont grandement fragilisées et l’instinct de survie des Européens de l’Ouest s’est considérablement affaibli.
Par ailleurs, les exemples que sont l’ethnomasochisme et l’écoanxiété représentent à merveille la survalorisation du sacrifice et de l’émotionnel, témoignant de cette féminisation excessive qui gangrène les sociétés modernes.
La survie de l’Occident
Malgré un matraquage massif des mondialistes, l’Occident met le cap à tribord, espérant échapper à un scénario catastrophe.
Au-delà du contrôle migratoire et des politiques natalistes que le bon sens exige, miser sur l’épanouissement de la jeunesse et son apprentissage doit être une priorité nationale.
Premièrement, réformer le système éducatif dans son ensemble, en commençant par :
- Redéfinir un rythme scolaire approprié, et revenir à des méthodes pédagogiques éprouvées ;
- Lutter contre les humiliations et sanctionner sévèrement les violences juvéniles qui perturbent irrémédiablement un nombre incalculable d’enfants (victimes, témoins, bourreaux) ;
- Valoriser les fêtes traditionnelles et l’histoire occidentale pour que les élèves développent une identité de groupe qui contrebalance l’individualisme ambiant ;
- Restaurer l’ancrage et la confiance en soi dont manquent les étudiants, à travers des clubs sportifs non mixtes au sein des établissements scolaires (accessibles les mercredis et samedis), leur permettant de s’initier au courage, à l’effort et à la performance.
Deuxièmement, rétablir, en tant que rite de passage viriliste, le service militaire pour les jeunes hommes de nationalité franco-européenne, afin de leur insuffler l’amour de la patrie, le sens du devoir et la discipline, qui sont souvent des principes encensés par les anciens appelés.
Si forger une génération, prête à défendre et perpétuer l’héritage de sa nation, sonne comme un poncif pour ceux qui jubilent à l’idée de voir l’Occident se noyer dans les chaudrons d’apprentis sorciers, cela n’en reste pas moins le meilleur remède pour endiguer la déchéance de notre civilisation. Une évidence qu’aucun de ces traîtres ne saurait nier.
Note de l’auteur : Bien qu’attendu dans une telle analyse, l’excès de nuances compromettrait la clarté du propos.
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